l'homme du frisson

Asimiir sorti et vit, deux femmes. L'une au tein très pâle, les cheveux noirs comme un corbeau. Elle avait une robe longue foncée, il en déduisit qu'elle était magicienne. L'autre femme, avait des oreilles pointues bleu foncé. Ses cheveux étaient bleu pâle et descendaient au milieu de son dos. Il y avait aussi deux hommes. L'un avait la peau argentée et portait lui aussi une robe de magicien. Il était à genou devant l'autre homme qui avait une armure lourde vraiment sombre. Il avait aussi des ailes de libellules vert terne. C'était bel et bien l'homme qui l'avait mit dans cet état. Il s'approcha de lui d'un pas certain. Rendu assez proche de lui, il s'élança. Asimiir lui donna un coup de poing sur la machoire. Ensuite Asimiir l'immobilisa au sol.

"T'es qui toi? Qui tu es pour me faire un tel effet? Je suis resté paralysé devant ton regard. As-tu fouillé mon esprit, as-tu pris le contrôle de mon corps? QU'EST-CE QUE TU M'AS FAIT!!!", cria-t-il de toutes ses forces.

Puis Asimiir frappa tant qu'il pu ou qu'il se passe quelque chose. Il ne se contrôlait plus.

(Voilà, j'ai édité )

(Bon j'ai pas le temps de répondre au complet tout de suite, mais je me réserve la première réponse . Asimiir oublie pas d'éditer ta description de mon apparence: je porte mon armure.)

(Bon j'ai pas le temps de répondre au complet tout de suite, mais je me réserve la première réponse . Asimiir oublie pas d'éditer ta description de mon apparence: je porte mon armure.)
(haha je vais rajouter un détail, mais pas besoin d'éditer: je porte une cape qui cache mes ailes. Juste un petit détail, mais c'est pour éviter de révéler à tout le monde que je suis un elfe céleste.)

Tout c'était passé très vite. Il y a à peine un instant, il tenait la main d'Éca, qui lui adressait un magnifique sourire. La seconde d'après, un jeune elfe céleste lui adressait la parole, le regard plein d'admiration. Distrait par le garçon, Menedian n'avait pas vue la brute venir, et n'avait pas prévu son attaque brutale et soudaine.

Le premier coup vint comme un éclair et alla cueillir Menedian à la machoire. Son heaume absorba la majorité de l'impact et se bossela là où le coup avait été donné. Sonné mais pas K.O., le paladin ne put toutefois pas échaper à l'emprise du mécréant et se retrouva par terre, l'homme par-dessus lui et s'apprêtant à porter un autre coup. Menedian le dévia de sa main droite, mais en sentit quand même l'impacte sur sa poitrine. Sa cuirasse se bossela elle aussi. Cet humain était doté d'un force exceptionnelle! Un autre coup de poing s'abattit sur l'autre côté de son visage, comprimant son heaum autour de sa tête.

C'en était trop. Cette attaque était gratuite et déloyale. Le corps de Menedian n'était pas encore gravement blessé, mais son orgueil, si. Comment une brute sale et dépourvue d'honneur avait-elle osé s'en prendre à lui? Lui qui avait tout donné pour la sauver, sacrifiant son âme en devenant porteur du livre? Une rage noire l'envahi et un voile rouge se forma devant ses yeux. Il voulait blesser cet homme, le faire souffrir. Il sentait sa poitrine le brûler, comme si le Livre hurlait, réclamant le sang de l'impudent. Pour ce conflit, contre se manant, le paladin et le nécromancien allaient travailler ensemble. Cette fois, l'être fractionaire qui était né de l'union de Menedian et du Livre Noir allait rassembler tous les morceaux de son être, unis dans la haine.

Son adversaire était fort, certe, mais dépourvus d'autres talents, particulièrement de sens tactique. Le corps à corps était, après tout, aussi la spécialité, et ses pouvoirs magiques, particulièrement en cet instant, où ils se retrouvaient exacerbés par l'union de son être, lui conféraient un avantage considérable.

Avant que son assaillant ait pu porter une nouvelle attaque, Menedian répliqua en faisant appel à son pouvoir de drain de vie. Il posa ses mains sur la poitrine du géant et concentra toute sa rage en une pensée de succion. Leurs corps se retrouvèrent entourés d'un voile ténébreux tandis que les cheveux de son agresseur viraient vers le gris et que Menedian sentait une force nouvelle l'envahir. Il brisa ensuite leur étreinte en faisant basculer son adversaire par-dessus lui. Il s'empressa de se relever, s'éloigna et posa la main sur la garde de son épée, prêt à frapper si le guerrier le chargeait à nouveau.

Son heaume compressé l'étouffait, aussi le retira-t-il, laissant voir à tous son visage. Ses traits étaient déformés en un rictus de colère et ses yeux, dont les pupilles avaient viré au rouge, étaient injectés de sang et semblaient promettre mille morts. Un halo de lumière l'entourait, mais il était teinté rouge sang. Sa grâce raffinée usuelle avait été remplacée par une beauté plus primaire, sauvage même. Il était la furie incarnée. Il avança vers son agresseur et s'adressa à lui, son ton empleint de menace et d'authorité, son aura de commandement à son plus fort.

--Je suis Menedian San'Doral Le Gardien, chevalier de la sainte lumière! Agenouille-toi et ouvre ton coeur! Abdique, et tu sera épargné! Rends-toi, je te l'ordonne!

Il avançait toujours vers le géant, prêt à en finir.

Asimiir frappait mais après trois coups, l'homme le poussa et dans cet élan, Asimiir vit une nouvelle fois sa vie de misère déroulée devant ses yeux. Il vit la bataille contre les gardes.... la prison.... la plage.... l'auberge.... et.... l'Homme.... Cet homme qui lui avait fait tant d'effet et.... de mal.... Puis, sa rage incontrôlée.... Et puis plus rien. Juste lui et l'Homme. Celui-ci se tenait à quelques mètres devant lui. Asimiir avait mal. Pas un mal, physique, mais un mal psychologique et "mental". Il se sentait faible. Tellement faible qu'il pourrait mourrir à tout instant.

Asimiir leva le yeux vers l'homme et l'entendit parler.

"Toi...", dit-il, le souffle court

"Tu te dis Gardien de la Sainte Lumière....", dit-il, reprennant son souffle.

"Moi, je ne vois en toi qu'un homme plein de pouvoirs et qui ne fait qu'en profiter...", dit-il, avec un regard haineux.

"Je ne vois qu'un homme qui viole les gens. Tu m'as violé....", dit-il d'une voix faible.

"Un vrai Chevalier de la sainte lumière, ne violerais pas autrui mais les protègerais.... Il ne leurs demanderais pas de s'agenouiller et d'abdiquer, il les aiderais à se relever et de s'accrocher....", dit-il les yeux plus rouges que jamais.

"Et un VRAI Chevalier de la Sainte lumière n'utiliserais pas de magie noire!", dit-il en se relevant. Asimiir tremblait de tout son être.

*Si je dois mourrir aujourd'hui, ce sera maintenant. Ces gens verront qu'il n'est pas un VRAI chevalier de la Sainte Lumière*

Asimiir savait que ce Menedian était puissant, mais rien ne pourrait l'obliger à s'agenouiller et à abdiquer, RIEN! Pas même ce Chevalier de merde qui utilise la magie noire.

*Je vais me battre... Me battre pour un monde meilleur.... un monde où la magie noire sera effacée de tous les mémoirs et mémoires afin que plus rien ni personne ne l'utilise*

Menedian ne vit pas Findarato se préparer à l'aider de sa magie, un talent naturel chez leur peuple, ni le jeune kender arriver. Il ne voyait que le guerrier. Il n'entendit pas la voix du petit homme lorsqu'il posa une question. Il n'entendit que la voix du géant, qui l'invectivait.

On avait jamais parlé de telle façon à Menedian. L'homme osait parler au nom de la lumière, osait douter de la sainteté de sa personne. Il se disait violé, abusé. Il traitait le paladin d'abuseur. Il refusait de reconnaitre sa candeur et le travaille acharné, l'oeuvre d'une vie, qu'il avait effectué pour en arriver là. Menedian avait envie de tuer cet homme. Tout son être hurlait sus à cet homme qui croyait pouvoir lui faire la morale. À lui, qui avait tout sacrifié par amour pour tous et toutes. Son côté sombre voulait blesser cet humain, le faire souffrire jusqu'à en oublier qui il est. Le réduire en lambeaux et danser au milieu d'une pluie de son sang, mais son côté clair restait le plus fort. Cet homme l'avait blessé sur tout les plans et n'était probablement qu'une brute sanguinaire qui ne savait que contaminer le monde de sa rage et de son horrible violence, mais il restait un être vivant et pensant. Il pouvait changer et se repentir et, peut importe les chances qu'un tel changement se produise, il était de son devoir de paladin de laisser sa chance à cet homme.

Bien qu'il ait remporté le débat intérieur concernant la vie de son assaillant, le côté bon de Menedian avait quand même du faire quelques concessions. Sa sombre moitié trouverait satisfaction: le géant avait voulu lui dire ses quatres véritées? Il allait en faire de même. Puis il lui ferait mal, très mal, jusqu'à ce qu'il sombre dans l'inconscience.

Il avançait toujours vers son adversaire, qui ne s'était pas remi de la perte d'une aussi grande quantité d'énergie vitale et pouvait à peine rester debout. Il s'adressa à lui, avançant vers la conclusion de l'affrontement.

--Tu crois pouvoir parler au nom de la lumière?!? Toi, une pauvre brutte lâche et colérique qui attaque les gens par derrière? Combien d'innocents as-tu assassiné de cette façon, pour les dépouiller ou satisfaire ton besoin de te prouver ta propre existence, en dominant autrui? Tu t'es entrainé, cela ne fait aucun doute, pour acquérir plus de puissance, pour augmenter ta force; pour augmenter ton pouvoir sur les autres. Tu dis que je suis mauvais et que je fais de la magie noire, mais en fait c'est toi qui a vendu ton âme!

Il était maintenant tout près de son agresseur. Un dernier morceau de venin devait encore jaillir, le plus gros et le plus douloureux, et même le cracher ne soulagerait pas complètement Menedian, aussi giflla-t-il l'homme du revert de la main avec force, le forçant à reculer avant de continuer:

--Tu crois détenir la vérité absolue, toi qui es incapable de voir plus loin que ta propre souffrance et le vide de ton existence, mais tu as tort! As-tu la moindre idée de toutes les souffrances que je endurées, toutes les larmes que j'ai pleurées, tous les amis que j'ai perdus, tous les sacrifices que j'ai fais pour en arriver là!?!

Son visage était tordu par la rage et la souffrance. De chaudes larmes coulaient sur son visage tandis qu'il avançait encore.

--Tout ceci, je l'ai fait par amour!-- hurla-t-il --J'aime ce monde et ses habitants, jusqu'au dernier! Même toi, je t'aimes! Pouquoi ne le vois-tu pas!? Pourquoi ne vois-tu pas la peine que tu me causes!?!

Menedian était hors de contrôle. La boite de pandore avait été ouverte. Cette boite, on la retrouvait cachée au fond du coeur de tous les paladins. Elle était leur angoisse la plus secrète, leur blessure la plus pronfonde. Elle était la question que chacun d'eux se pose chaque fois qu'un tel évènement surgi: pourquoi certains ne comprennent-ils pas que tout ce qu'ils font, tous ces combats, toutes ces lessons de morale, ils le font par amour? Pourquoi certains s'obstinent à les hair, eux qui aiment tous et chacuns? Menedian, plus que quiquonque, souffrait à cette pensée. Lui qui avait tout donné ne pouvait supporter l'ingratitude.

Sa souffrance était immense. Tout son être était colère et chagrin. Menedian ne pouvait se soulager que d'une seule manière: il devait vaincre l'objet de sa peine, le neutraliser et lui prouver que la lumière est plus forte que tout. Aussi dégaina-t-il hâtivement son épée, s'apprêtant à frapper, couper et trancher son adversaire jusqu'à ce qu'il tombe inconscient ou mort. De toute façon, dans son état actuel, le paladin ne pourrait faire la différence.

Asimiir écouta ce que Menedian venait de dire mais ne l'entendi pas. Il savait que le combat était inutile contre lui.

*Je ne mourrerai pas*, pensa-t-il.

Asimiir vit que Menedian n'était plus le même par ses larmes. Il vit avancer vers l'homme aux oreilles coupées, puis mettre ses mains sur son épée et commencer à la dégainer. Il avançait toujours vers lui. Asimiir sentait ses forces l'abandonner.

*Il est trop fort, je ne pourrai pas le battre...*, pensa-t-il.

À cause, de cette pensée, Asimiir mit un genou au sol et attendis que Menedian soit assez près de lui. Lorsqu'il fut à environ 1 mètre et demi, Asimiir fit un saut arrière (Back Flip) et un saut d'environ trois mètres par dessus Menedian. Il essaya de donner un dernier coup à Menedian, à ce faux chevalier de la sainte lumière. Asimiir tenta de lui donner un coup de pied derrière les genoux mais lorsqu'il fût à sa pleine extension, il perdit pied et s'écroula. Le mastodonte de 320 lbs. tomba lourdement sur le sol et n'arriva plus à ce relever. S'en était fait, Asimiir allait mourrir.

"C'est ça.... tue moi.... achève ton travail.... comme ça, ce sera vrai.... un menteur devient un voleur, un voleur devient un tueur.... tu ments en disant que tu es un Chevalier de la <<Sainte Lumière>>, tu as volé mon énergie en me touchant et là....", dit-il, devenant encore plus faible....

"Et là... tu vas me tuer.... belle affaire n'est-ce pas.... tu as réussi ton cou.... petit homme....", dit-il en sombrant dans une inconscience très profonde

(Quand je dis "petit homme", je veux dire homme sans honneur, menteur.... )
(tk c'est péjoratif)

Menedian ne fut qu'à moitié surpris par l'attaque du mastodonte, aussi se retourna-t-il, prêt à la parer et à en finir, lorsque son adversaire s'effondra. Reprenant ses esprits peu à peu, le paladin tomba à genoux, haletant. Bien qu'il ne se soit passé qu'une minute, il était épuisé et, malgré son triomphe, il était inquiet. C'était la première fois qu'il perdait contrôle de ses sentiements de la sorte. Il avait souhaité la mort de cet homme avec une violence repoussante, tout en éprouvant une immense tristesse. Cet instant était passé et laissait maintenant Menedian songeur, à genoux par terre, se tenant les côtes en un geste de réconfort désespéré, secoué de sanglots: sa nature duale allait-elle enfin avoir raison de lui? Allait-il finalement devenir fou furieux?

Son coeur était remplit d'angoisse et il se sentait sécoué de frissons. Il tenta tant bien que mal de se resaisir et de se relever, mais ne parvint même pas à se lacher les côtes. Allait-il rester figé dans cette position pour toujours, victime de sa propre démence? Il tenta de pousser un cri, qui sortit plus comme un gémissement de souffreteux. Il se concentra et tenta de se relever à nouveau. Cette fois, il parvint à détacher ses mains de ses flancs et se releva avec peine, prenant appuis sur son épée. Il commençait à se détendre, sa grande force intérieure reprenant le dessus et unifiant son esprit fragmentaire peu à peu. Menedian leva les yeux vers le soleil. Il était midi et il brillait de mille feux. Sa chaleur agit comme un baume sur le coeur de Menedian. Tant que la lumière le baignerait de ses rayons, il resterait son dévoué serviteur. Il prit une grande respiration et ferma les yeux. Il était maintenant calme, mais se sentait faible et épuisé.

Il posa alors les yeux sur l'homme qui avait tout déclenché. Cet homme, il l'avait vu dans l'auberge et avait analysé son karma. Le paladin y avait vu un grand tourment intérieur.

**Cet homme a besoin d'être sauvé...** pensa-t-il, la compassion reprenant sa juste place dans son coeur blessé.

Bien qu'à bout de forces, Menedian possédait encore la force phénoménale qu'il avait volée au guerrier, aussi parvint-il à le soulever de terre sans trop de difficultés. Il se tourna vers Findarato et lui dit:

--Je suis désolé pour cet incident. Moi et mes compagnes devont partir au plus vite. Voudrais-tu nous accompagner? Nous aurions ainsi le temps de discuter en plus amples détails...

(Je passe mon tour parce que, comme vous le savez tous je suis inconscient)

Le Kender disait qu'il préférait ne pas s'en mêler.

"Faites ce que vous voulez, mais bon de toutes façon il est trop tard, le combat est terminé."

Peu après la dernière tentative d'attaque de la brute, Menedian s'effondra sur ses genoux et commença à se serrer les côtes. Il semblait être prit d'une profonde détresse. Findaráto voulait l'aider, mais pour ça, il lui aurait fallu connaître la cause de cette détresse, mais malheureusement, Menedian est un être bien mystérieux. Le Gardien finit par se relever avec peinne et au grand étonnement de Findaráto, il souleva le corps de la brute alors qu'il semblait au bord de l'épuisement. Ensuite, Menedian se tourna vers lui en s'excusant pour cet incident. Il lui explica également que lui et ses compagnes devaient partir au plus vite et lui offrit de les accompagner comme ça ils auraient largement le temps de discuter.

"Si je ne suis pas de trop j'accepte volontier votre proposition.", dit-il d'un air enjoué.

Il balaya les environs du regard, les personnes accompagnant Menedian semblaient être une humaine et cette elfe lunaire de tout à l'heure. Cela lui permettrait de garder un oeil dessu.

(Désolé pour le temps d'attente, mon ordinateur a plenté samedi matin... ¬.¬)

[HJ : Je vous laise continuer sans moi . De toute façon je n'ai plus vraiment d'idée et mon personage, n'as pas vraiment une très grande importance lol. Enfin disons qu'avec le temps je ne suis pu vraiment "dedant". Enfin bonne continuation ]

Menedian s’apprêtait à répondre à l’impatience de Séréna avec son habituelle galanterie, quand un nouvel inconnu vint à leur rencontre. Celui-ci arborait le port altier et les longues oreilles des elfes, les cousins de sa race. L’homme se présenta comme Sonak, chassant un démon dont la description parut étrangement familière à Menedian, même s’il ne pouvait s’expliquer pourquoi. Il n’avait pourtant jamais affronté pareil démon. Peut-être son mentor lui en avait-il déjà parlé? Ou bien…

Voyant qu’il s’apprêtait à se perdre dans ses pensés, comme il lui arrive si souvent de le faire, Menedian s’ébroua et ramena son esprit au présent. Sonak s’était mis à l’observer de près, analysant son armure et sa cape, qui cachait ses ailes de libellule et sa chenille à tête de serpent. Ce qui fit penser au paladin qu’il devrait un jour lui trouver un nom. Ce qui lui rappela qu’il ne connaissait même pas le nom de l’homme qu’il portait actuellement sur ses épaules…

Décidément, ce combat l’avait épuisé! Le voilà qui peinait à garder ses pensés concentrées. Il se concentra et tenta d’offrir une réponse à l’elfe :

--Salutations, Sonak. Je suis Menedian San’Doral, un humble servant de la lumière, et je n’ai jamais vu ni même entendu parler de la créature que vous venez de me décrire, navré. Toutefois, je serais ravi de vous aider à chasser ce démon, si j’en ai l’occasion.--

Puis il se tourna vers Séréna, qui semblait vraiment impatiente. Le problème, c’est que le paladin avait maintenant les bras pleins : une âme à sauver, une autre à guider et un démon à chasser. En ce qui concernait le Gardien, Le Marchant devrait attendre.

--Je suis navré, mes dames, mais il semblerait que La Toute Grande Lumière ait décidé de me surcharger de tâches. Je crois que c’est le moment pour nous de nous séparer.--

( Moi, je ne peux pas encore poster parce que je suis encore inconscient)